Traitement des matières organiques et des graisses
Son outil principal de traitement des déchets organiques consiste en une unité d’oxydation par voie biologique. Elle est à même de recevoir une très grande variété de déchets liquides ou pâteux tel que les graisses alimentaires ou industrielles ainsi que des matières organiques diverses.
Entrée déchets liquides acqueux non dangereux pour valorisation.
Hydrolyses des déchets
Réacteur oxydation aérobie R3
Unité de déshydratation
Miate vers plateforme de
valorisation organique interne
Sortie eau : Filtrat suite déshydratation.
Coagulation floculation et filtration
vers traitement de finition
Hydrolyse : Anoxie 2
Réacteur oxydation 1 à faible charge
Stockage eau industrielle propre
Le principe de traitement se découpe en six étapes :
Étape préliminaire afin d’éliminer tous les corps étrangers dont la taille risquerait d’endommager le matériel. Les déchets ainsi éliminés constituent la seule fraction non valorisable sur notre site.
Étape primaire du traitement biologique en absence d’oxygène ayant pour but le fractionnement de la pollution par une flore bactérienne spécifique.
L’effluent issu de l’hydrolyse y est injecté pour être mis en contact avec une autre biomasse spécialisée qui, en présence d’oxygène, absorbe et dégrade la pollution.
Nouvellement installé, notre unité de déshydratation nous permet de monter à 25% matière sèche et diminue notre impact carbone.
La biomasse ainsi récupérée est ensuite envoyée sur notre unité de compostage ventilée mécaniquement et assistée par ordinateur. Cette étape ultime d’hygiénisation a pour but de transformer la boue en un amendement organique normalisé.
L’eau épurée issue de l’étape de déshydratation est à son tour valorisée. Ce traitement comprend une phase de traitement biologique afin d’éliminer le peu de pollution restante à laquelle est adjointe une étape de filtration sur du sable puis du charbon actif. L’eau est finalement chlorée afin de pouvoir être réutilisée en interne et par les camions de vidange.
En 2012, TRANSELI s’est dotée d’un nouveau réacteur capable de traiter jusqu'à 16 425 tonnes de déchet par an.